Sept établissements membres de l’UPSA au 88e Salon de l’auto

Admirer, s’étonner et être vu : les garagistes confient à AUTOINSIDE s’ils comptent se rendre au Salon de l’auto de Genève et si oui, le sujet de leurs attentes, les thèmes sur lesquels ils souhaitent s’informer, la manière dont ils éveillent l’intérêt de leurs clients pour ce salon international et pourquoi la visite de la halle 7 en vaut le détour.
 

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Peter Stocker, Auto-Graf AG, Meilen ZH
« L’actualité influence l’achat »

Avec quelles attentes vous rendez-vous à Genève ? Visiterez-vous aussi la halle 7 ?
Pour y obtenir un aperçu des modèles et des nouveautés. Quelle tendance se dessine, quels types de moteur l’avenir proche nous apportera-t-il, quelle voie les fabricants emprunteront-ils ? La halle 7 est incontournable. C’est l’endroit idéal pour se faire une idée du monde du marché des accessoires automobiles et des innovations de la branche.
 
Comment abordez-vous les onze prochains mois de l’exercice 2018 ?
Nous abordons 2018 avec le même élan et le même optimisme qu’en 2017. Innovations, réactivité et bouleversement du marché ne nous laisseront pas de répit.
 
Selon vous, quel est l’impact du salon ?
Les sujets d’actualité tels que le changement climatique, les systèmes de propulsion alternatifs et ce que les fabricants entreprennent dans cette optique influeront sur l’intérêt et le comportement d’achat.
 
Prévoyez-vous d’organiser des actions à l’occasion du salon ?
Nous prévoyons une action marketing pour nos clients afin de les inciter à visiter le salon automobile.


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Daniel Portmann, Auto Portmann GmbH, Engelberg OW
« Des accessoires ­incontournables »

Avec quelles attentes vous rendez-vous à Genève ? Visiterez-vous aussi la halle 7 ?
J’ignore encore si je vais m’y rendre. Cela dépendra de mon temps libre. En principe, je me rends au Salon de l’auto sans objectifs concrets. Vous me trouverez plutôt dans la halle 7, car des voitures, j’en vois tous les jours. La halle 7 regorge d’accessoires incontournables ou d’équipements du quotidien. On y voit en outre des nouveautés qui pourraient être décisives pour effectuer de nouveaux achats.
 
Comment abordez-vous les onze prochains mois de l’exercice 2018 ?
Avec confiance. Si un représentant de la marque peut compter sur de nouveaux lancements, l’éventualité d’achats supplémentaires n’est pas exclue.
 
Selon vous, quel est l’impact du salon ?
Je suis d’avis qu’il est plutôt faible, car notre clientèle s’informe avant tout sur Internet de nos jours.
 
Prévoyez-vous d’organiser des actions à l’occasion du salon ?
Non, ce n’est pas prévu.


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 Jean-Claude Vésy, Garage de la Molière SA, Estavayer-le-Lac FR
« Voir des nouveautés »

Quelles sont vos attentes à l’heure de partir à Genève ? Visiterez-vous la halle 7 ?
Le but de ma visite dans la halle 7 est de voir les nouveautés.
 
Comment abordez-vous les onze prochains mois de l’exercice 2018 ?
L’année 2017 était bonne et je pense que 2018 sera aussi bonne au niveau de l’atelier, au niveau de la vente, cela dépendra des offres de mon importateur.
 
Le Salon a-t-il une influence sur la marche des affaires ?
Oui, mais le Salon devrait accorder davantage d’importance aux petites structures et pas seulement se concentrer sur les grandes.
 
Prévoyez-vous des manifestations autour du Salon ?
Pour la période du salon, je vais faire des offres supplémentaires au niveau des voitures neuves et une exposition à la fin du mois. 


 

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 Urs Raschle, Garage Raschle, Walenstadt SG
« La halle 7 est l’une des raisons »

Avec quelles attentes vous rendez-vous à Genève ? Visiterez-vous aussi la halle 7 ?
Il va de soi que nous voulons voir les nouveautés de nos importateurs. La halle 7 est l’une des raisons de la visite. J’ai l’occasion de voir les distributeurs et de discuter des achats prévus pour l’année en cours.
 
Comment abordez-vous les onze prochains mois de l’exercice 2018 ?
J’espère que l’année en cours sera aussi bonne, si ce n’est meilleure que l’année passée.
 
Selon vous, quel est l’impact du salon ?
Le Salon de l’auto n’a pas une grande influence pour notre région.
 
Prévoyez-vous dans votre entreprise d’organiser des actions à l’occasion du salon ?
Nous prévoyons nos actions au niveau de nos expositions, pas du Salon de l’auto. 


 

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 Christoph Keigel, Garage Keigel AG, Basel
« Un catalyseur pour le showroom »

Avec quelles attentes vous rendez-vous à Genève ? Visiterez-vous aussi la halle 7 ?
Le Salon de l’auto montre chaque année les derniers modèles et les évolutions technologiques récentes. La visite nous aide à anticiper à court et moyen terme l’avenir du secteur automobile. Le salon demeure en outre un baromètre de tendances en matière d’évolutions et il nous permet de comparer les évolutions des différentes marques. La halle 7 fait partie du programme de la visite. Nous nous y renseignons au sujet des innovations dans le domaine des prestations de service et d’atelier.
 
Comment abordez-vous les onze prochains mois de l’exercice 2018 ?
Nous espérons que l’année 2018 se calquera sur 2017. Nous sommes curieux de découvrir les effets du passage du NECD au WLTP. Mais nous ne croyons pas que cela aura de grandes répercussions pour nous, les concessionnaires.
 
Selon vous, quel est l’impact du salon ?
Nous savons de nos clients qu’ils se rendent au Salon de l’auto pour obtenir des informations globales avant de décider de l’achat d’un nouveau véhicule. Compte tenu de sa couverture médiatique, le Salon de l’auto a une fonction de catalyseur qui permet de relancer la demande dans nos showrooms.
 
Prévoyez-vous d’organiser des actions à l’occasion du salon ?
Nous offrons à nos clients la possibilité de visiter le Salon de l’auto à tarif réduit. Nous organisons pour nos clients de flotte une journée à Genève. Nous planifions cependant nos actions commerciales par le biais des différentes marques. Nous ne proposons pas d’offres réservées au salon. 


 

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 Alexander Hasler, Walter Hasler AG, Frick AG
« La première étincelle du printemps d’auto »

Avec quelles attentes vous rendez-vous à Genève ? Visiterez-vous aussi la halle 7 ?
Je resterai entre deux et trois jours à Genève. Nous profitons du salon pour recevoir des clients. C’est pourquoi une personne de l’entreprise sera présente chaque jour sur place. Quant à moi, je me considère plus comme un hôte que comme un visiteur. Il est évident que je m’accorderai bien deux heures pour faire un tour et jeter un coup d’œil, parallèlement à l’encadrement de nos clients. Je souhaite d’une part savoir ce que nos concurrents ont à offrir et d’autre part, je rendrai visite aux fournisseurs de la halle 7 et j’y comparerai les offres. Un garage doit constamment investir, et Genève me permet d’avoir un aperçu des possibilités en la matière.
 
Comment abordez-vous les onze prochains mois de l’exercice 2018 ?
Avec des perspectives on ne peut plus positives. Mercedes-Benz a les deux pieds sur l’accélérateur. Nous nous réjouissons d’ores et déjà des nouveaux modèles stars de 2018. La nouvelle classe A, un de nos grands modèles, va être présentée à Genève. Sans oublier la nouvelle CLS. La classe C et la nouvelle classe G ont été restylées.
 
Selon vous, quel est l’impact du salon ?
Pour moi, le salon est la première étincelle du printemps automobile. Les gens sont excités de découvrir ce que la saison automobile leur réserve et trouvent à Genève les réponses à leurs questions.
 
Prévoyez-vous dans votre entreprise d’organiser des actions à l’occasion du salon ?
Nous aurons les 24 et 25 mars notre grande exposition de printemps, laquelle fait suite au salon. Nous profitons de l’élan de cette exposition pour nous assurer une année couronnée de succès. 


 

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 Andrej Rüegg, Auto Welt von Rotz, Münchwilen TG
« Forcément un effet à court terme »

Avec quelles attentes vous rendez-vous à Genève ?
Pour être honnête, je n’irai pas à Genève. Chaque année, plusieurs de nos collaborateurs se rendent au Salon de l’auto, mais je ne m’y rends que lorsque je peux relier l’événement à une journée des concessionnaires de l’une de nos marques contractuelles. Je me tiens au courant par le biais d’autres sources telles que les médias et les réseaux sociaux. Je n’apprécie pas particulièrement les salons, mais je suis fier que l’un des plus importants salons professionnels automobiles se tienne en Suisse.
 
Comment abordez-vous les onze prochains mois de l’exercice 2018 ?
Nous avons bien clôturé l’année passée et souhaitons embrayer avec le même élan dans la nouvelle année. Disposant de nombreux projets sous le coude, nous abordons l’avenir avec une grande confiance.
 
Selon vous, quel est l’impact du salon ?
Grâce aux lancements de véhicules importants ou aux actions bien organisées sur les stands du salon, il y a forcément un effet perceptible à court terme. Considérée sur l’année entière, son influence reste limitée. Je pense que si le Salon de l’auto avait lieu à une distance géographique moins importante, son influence serait plus grande.
 
Prévoyez-vous d’organiser des actions à l’occasion du salon ?
Nous organisons toujours des concours pour gagner des billets d’entrée.


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